A presque 36 ans, Federer vient de gagner Wimbledon sans perdre un set. Performance invraisemblable, que personne n’avait réalisée depuis Borg en 1976, pas même Federer lui-même, lors de ses 7 victoires précédentes sur le gazon londonien.
En 2012, année de sa victoire précédente, il avait 30 ans.
Après 33 ans, l’âge du Christ pour l’éternité, personne ne gagne un grand shlem, encore moins deux (Australie 2017), et évidemment pas sur gazon sans perdre un set!
Après 33 ans, personne ne progresse à ce point.
C’est impossible. Jamais vu.
A moins que…
Eh oui, vous l’avez compris.
A moins que le Suisse Roger Federer ne soit le Messie.
Une hypothèse qui expliquerait beaucoup de choses
Cette hypothèse est loin d’être absurde.
Transformer du sang en vin, ou multiplier les pains, avec les progrès technologiques, les imprimantes 3D, le clonage génétique, franchement, c’est à la portée de beaucoup d’êtres humains. Mais frapper, en haut du rebond, en demi volée de revers, les services des meilleurs mondiaux pour les prendre de vitesse, sans une goutte de transpiration, à 35 ans, c’est clairement d’essence divine.
Un autre indice que l’on n’a pas assez souligné: c’est à Wimbledon que Federer a le plus gagné. Or, comme par hasard, les joueurs y jouent en blanc, comme des anges descendus du ciel.
Une réunification des grandes religions monothéistes?
En simplifiant (à peine), les chrétiens croient que le Messie est arrivé sur terre il y a deux mille ans (Jésus parfois aussi appelé Jésus « Christ ») tandis que les juifs l’attendent toujours.
Si le Messie descendait sur terre aujourd’hui, juifs et chrétiens s’uniraient de nouveau dans l’adoration du Tout Puissant et de son Emissaire.
Nul doute que les musulmans, pour ne pas être seuls, les rejoindraient.
Chers frères, une bonne nouvelle: le Messie est parmi nous, il est Suisse et s’appelle Roger Federer.
Loué soit-Il.
Evidemment que Federer est le Messie. Vous découvrez l’eau chaude. Je ne vous salue pas.
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