Après la défaite 5-1 à Munich, Arsenal n’avait aucune chance de se qualifier. Néanmoins la grande détermination des gunners aurait pu nous offrir un beau match. Les arbitres en ont décidé autrement.
Les jours d’Arsenal ont en effet montré dès le coup d’envoi un engagement tout à fait remarquable, avec un pressing efficace et une grande justesse dans le jeu offensif. Après une très bonne première mi-temps ils menaient donc logiquement 1-0 à la pause.
La deuxième mi-temps commençait de manière très plaisante et les gunners bousculaient de nouveau les bavarois. Un match plaisant donc, même s’il ne pouvait pas réellement être question de qualification pour Arsenal.
Mais à la 54ème minute les arbitres vont mettre fin à ce très beau match de football. Ils vont le remplacer par une longue et pénible séance d’attaque défense totalement déséquilibrée. Koscielny bouscule Lewandowski dans la surface anglaise. L’arbitre siffle un pénalty sévère. Il l’assortit d’un carton jaune étonnant contre Koscielny. Puis, apparemment sur les injonctions de son arbitre de surface, il le transforme en un rouge tout à fait absurde.
Dès cet instant le match perd tout son sens.

C’est toujours mieux que de ruiner ainsi un match de football
Rien ne justifie ce carton rouge, qui représente à ce jour la décision arbitrale la plus grotesque des dix dernières années. Mais elle trouve sa cohérence avec une autre décision du même arbitre, intervenue à la 34ème minute. Il est à moins de dix mètre d’une action qui voit Walcott être bousculé dans la surface adverse. Le pénalty est net mais l’arbitre central s’en remet à son collègue pour ne pas l’accorder.
En deuxième mi-temps une série d’autres erreurs seront commises par l’arbitre central, qui défavoriseront encore un peu plus une équipe d’Arsenal pourtant méritante.
Les bavarois auront la bassesse de profiter de la situation pour aligner des buts faciles. Ils pousseront même la vulgarité jusqu’à les célébrer tous comme s’ils étaient autant d’exploits. A noter que sur au moins deux d’entre eux le juge de touche aurait pu lever son drapeau mais il avait sans doute peur de se faire rabrouer par ses collègues germanophiles.

Les erreurs d’arbitrage (mais peut-on encore parler d’erreurs devant un biais à ce point systématique ?) sont à ce point grotesques que même le très germanophile Jean-Charles Sabatier les remarque, et il finira par en rigoler avec le pourtant très mesuré Elie Baup (on se souvient comment en d’autres occasions Jean-Charles était resté indifférent à d’autres erreurs en faveur de l’équipe d’Allemagne).
Le pauvre Koscielny avait déjà été victime d’une grossière erreur d’arbitrage lors de la finale de l’Euro : il avait reçu un jaune pour une main commise par son adversaire. Ce jaune l’avait empêché de faire faute sur l’action du but, juste après, et avait coûté le titre à la France. Au moins s’agissait-il d’une erreur de l’arbitre et non pas d’une accumulation de décisions volontairement biaisées, ce qui est fort différent.
La question se pose alors : pourquoi tant de partialité de la part de ces arbitres grecs ? La réponse se trouve peut-être à Francfort où la BCE doit se réunir demain. A l’évidence on peut s’attendre à ce que les Allemands y proposent des décisions favorables aux Grecs, toujours empêtrés dans la gestion de leur dette.
Notons que la victime de ces macabres manipulations est une équipe anglaise et les institutions européennes sont sans doute très heureuses de sanctionner ainsi un Brexit qu’elles n’ont toujours pas digéré.
Tout cela n’est pas très beau.
Et les erreurs d’arbitrages grotesques en faveur d’Arsenal au match aller on en parle ?
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Dès la première mi-temps, l’arbitre de surface est à un mètre de l’action sur laquelle Walcott est clairement crocheté dans la surface. L’action passe en boucle au ralenti sur BT sports, les quatre experts sont unanimes, « it is a clear penalty ». C’est le même arbitre de surface, qui non content de confirmer un pénalty bien plus litigieux que celui non sifflé sur Walcott en première (Koscielny met le bras, mais Lewandowski s’appuie et tombe trop facilement), prend l’initiative de demander à l’arbitre central de changer son jaune en rouge, décision plus qu’absurde, risible, tragique, jamais vue, à ce niveau de partialité, on ne peut que soupirer. Arsenal aurait dû mener 2-0 à la mi temps, au lieu de ça, le match tourne au cauchemar. Même Ancelotti a reconnu que son équipe n’était pas bien jusqu’au cadeau arbitral et que le résultat était inespéré. A noter que c’était le premier match à élimination directe de cet « arbitre ». Souhaitons que cela soit son dernier.
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@Benlosam :il faut sabs doute se poser la question de la neutralité de cet arbitre et enquéter sur d’eventuels pots de vins
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