Dimitri Payet s’est littéralement couché par terre pour marquer un splendide but, hier au Vélodrome, qui n’a malheureusement pas empêché Marseille de perdre 4 à 3 contre Monaco, au bout des prolongations, dans un match haletant.
Coucher, le seul ascenseur social qui marche encore
Payet n’a pas hésité à coucher pour réussir, et il a bien raison.
Cette méthode simple et traditionnelle, utilisée par beaucoup de gens, reste le seul ascenseur social qui marche.
Coucher oui, mais coucher utile
Mais attention à coucher utile: quand Franck Lebœuf se couche trop rapidement devant Diouf contre le Sénégal, lors de la coupe du monde 2002, il se fait éliminer, et la France perd 1 à 0. Lebœuf n’a pas couché utile ce jour-là, c’est bête.

50 nuances de coucheries utiles
Eric Di Meco, lorsqu’il se couchait sur la pelouse au risque de salir son maillot blanc de l’OM, ne le faisait jamais pour rien. Il couchait utile, oui, puisqu’il taclait les deux jambes décollées et envoyait ainsi son adversaire du PSG à l’infirmerie. Coucher utile n’est en effet pas toujours synonyme de soumission.

Le rêve français revisité
A l’heure où les candidats à la Présidentielle réinventent le rêve français, il est urgent de rappeler aux jeunes qu’ils doivent entreprendre, essayer, et que seuls ceux qui ont couché pour réussir ont réussi en couchant.
PS : un grand merci à Monsieur Théo Christodoux pour son intuition sur les coucheries à la française.