On croyait le fléau des morts par étouffement de gros seins complètement éradiqué.
Patatra ! Les chiffres officiels révèlent que 25’000 personnes sont mortes en France en 2015 étouffées par des gros seins, soit 80% de plus qu’en 2014. Un niveau qui n’avait plus été atteint depuis 23 ans.
Explications.
Une campagne de prévention moins efficace
On parle beaucoup moins de cette calamité qui fit des ravages en Normandie : des générations de jeunes hommes y furent décimés par les poitrines épanouies de laitières blondes aux joues rosées. Ce mode de décès était même sorti de la liste officielle des calamités naturelles en 1987. Les campagnes de prévention des années 70 et 80 sont loin derrière nous : les jeunes ne connaissent plus toujours les consignes de prévention.
Rappelons les recommandations européennes :
(1) Préférez le missionnaire et la levrette.
(2) Si, malgré tout, la femme ne peut se retenir de s’assoir sur l’homme (« à la romaine »), alors elle doit garder son dos droit et ne pas s’allonger sur son partenaire.
(3) Si vous êtes un homme, privilégiez toujours les rapports homosexuels, moins risqués.
Ces consignes simples, relayées par tous les médias, avaient de fait quasiment éliminé ces situations fatales où la tête de l’homme disparaît dans une poitrine, où il suffoque, tousse, proteste, mais où sa partenaire, concentrée sur l’orgasme, n’entend rien et continue à bouger violemment, recouvrant de ses lourdes mamelles le corps qui trépasse, n’apercevant qu’après la jouissance, lorsqu’elle rouvre les yeux, le visage du mort sous elle, bleui, la bouche ouverte sur un dernier rictus.
Attention danger : plus de 3 milliards de rapports hétérosexuels par an en France
Si la vigilance continue à se relâcher, on pourrait assister à un carnage. Avec une estimation (bas de fourchette) de 3 milliards de rapports hétérosexuels par an, dont environ 20%, soit 600 millions, concernent des femmes à forte poitrine (les scientifiques considèrent que le risque d’asphyxie explose littéralement à partir du bonnet 90D), il suffirait qu’un rapport sur mille se termine par un étouffement mammaire pour provoquer 600’000 décès par an. (A titre de comparaison, la première guerre mondiale n’a tué qu’environ 400’000 français par an. C’est dire le danger qui nous menace.)
Ces chiffres secrets, qui donnent le vertige, font très peur en haut lieu. On ne les ébruite pas pour ne pas causer de pas-nique.
Un plan massif de réduction mammaire d’urgence dans les cartons
Le gouvernement préparerait secrètement un plan massif de réduction mammaire à grande échelle au cas où les chiffres de ce qu’il faut bien appeler une véritable épidémie continueraient à exploser. A suivre donc.
Panthéon Foot 